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Réflexions échevelées et autres considérations métaphysiques d'une jeune fille de bonne famille.
Réflexions échevelées et autres considérations métaphysiques d'une jeune fille de bonne famille.
  • "Génie: inutile de l'admirer c'est une névrose." (Flaubert) "Déguiser sous des mots bien choisis les théories les plus absurdes, suffit souvent à les faire accepter." (Le Bon). Merci Gustave(s).
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2 juin 2009

Madame Rêve

Bon ok ça va, j'avoue tout: Jean-Baptiste Adamsberg je t'aime, je suis fan des anti héros qui ne parlent pas à tort et à travers et qui marchent afin de réflechir... C'est mon côté groupie, j'aime les mecs, les amis et les personnages de romans intelligents.

J'suis fan aussi de M.I.A. mais ça c'est autre chose.

Bon alors, lecteur première chose: va chercher un post-it et note: acheter/louer L'homme à l'envers et L'homme aux cercles bleus  de Madame Fred Vargas.

J'te vois venir lecteur "qui?"             

Fred Vargas= pseudo d'une madame très intelligente, qui dans la vraie vie est chercheuse en histoire et archéologie au CNRS, et qui écrit de magnifiques romans policiers (dont le désormais célèbre "Pars vite et reviens tard" adapté à la télévision- bon le Jean Baptiste Adamsberg de la télé (José Garcia bek bek)  est pas du tout le même que celui dans ma tête).

Ensuite, deuxième chose, comme je suis adorable, j'te mets les 4ème de couvertures de L'homme à l'envers:

Laisser les loups vivre en liberté dans le Mercantour, c'était une belle idée, dans l'air du temps. Mais ce n'était pas celle des bergers et, quelques mois plus tard, la révolte gronde. Mais est-ce bien un loup qui tue les brebis autour du village de Saint-Victor ? Les superstitions resurgissent, un bruit se propage : ce n'est pas une bête, c'est un loup-garou...

Lorsqu'une éleveuse est retrouvée égorgée dans sa bergerie, la rumeur tourne à la psychose. A Paris, le commissaire Adamsberg guette les nouvelles de la Bête du Mercantour.

" Comme des tisons, mon gars, comme des tisons ça fait, les yeux du loup, la nuit".

Et de L'homme aux cercles bleus:

"Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors?" Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de Paris. Aux centres de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu: trombonne, bougie, pince à épiler, patte de pigeon,...

Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent: un maniaque, un joueur. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite sont de mauvais augure. Il le sait, il le sent: bientôt, de l'anodin saugrenu on passera au tragique.

Alors lecteur, c'est tentant n'est-ce pas...

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